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Source text - English What's the most common tree?
You might assume the most ubiquitous tree would be a rainforest specimen, but it's not so: Those sweaty jungles are a crowded mosaic of different species. Peter Lee, a biologist at Global Forest Watch Canada, says that the John Smith of trees is the Siberian larch, numbering in the high hundreds of millions in the forests of eastern Russia, Siberia, and northern China. While no one has done a full count, this deciduous conifer's wide distribution in Russia's boreal (northern) forests, which are three times the size of North America's, places it ahead of two runners-up, the black spruce of Canada and Russia's Siberian spruce. For the long-lived larch and the spindly but hardy spruce, an effective propagator, global warming is a serious concern. As temperatures rise, their range will be pushed farther north and they'll become more susceptible to fire. Both factors could devastate the boreal forests and, as with the rainforests, the results would be unpleasant for, well, all life on earth.
Translation - French Quel est le plus commun des arbres?
On pourrait penser que le spécimen d’arbre le plus répandu se trouve dans la forêt tropicale humide. Or, il n’en est rien. Ces jungles torrides forment une mosaïque qui déborde d’espèces de toutes sortes. Selon Peter Lee, biologiste pour Global Forest Watch Canada, le plus commun des arbres est le mélèze de Sibérie, que l’on dénombre par centaine de millions dans les forêts de l’est de la Russie, de la Sibérie et du nord de la Chine. Bien que personne n’ait établi de bilan complet, cette espèce de conifère à feuilles caduques qui se répand abondamment au sein des forêts boréales du nord de la Russie (dont la taille est trois fois plus grande que celles des forêts de l’Amérique du Nord) se classe devant les deux finalistes que sont l’épinette noire du Canada et l’épinette sibérienne de Russie. Pour le longévif mélèze tout comme pour la grêle mais rustique épinette, le réchauffement de la planète, propice à leur propagation, constitue un problème de taille. En effet, plus les températures grimperont et plus les limites de leurs zones seront repoussées vers le nord, les rendant ainsi plus vulnérables au feu. Ces deux facteurs pourraient dévaster les forêts boréales et, bien entendu, comme cela s’est produit au sein des forêts tropicales, le résultat pourrait être désagréable pour toutes formes de vie sur terre.
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Translation education
Other - University of Manitoba
Experience
Years of experience: 19. Registered at ProZ.com: Jul 2005.
communiqués et allocutions de presse, élaboration de pochettes de presse/Press Releases
textes à saveur économique/Economic Texts
Bachelière en communications/journalisme ayant plus de 8 années d'expérience dans ce domaine, j'obtiendrai bientôt un certificat en traduction (ne reste que mon mémoire à compléter).
I have a bachelor in Communication and a certificate in Journalism. In a few months I will achieve a certificate in Translation having completed 9 of the 10 courses required.
Keywords: Communication Specialist, Media, Journalism, General, English to French Canadian Translator, English to French-Canadian Freelance Translator
Expertise